Cette semaine nos équipes de terrains sont retournées sur le terrain pour une seconde phase de collecte de données 10 mois après la première. Il s’agit d’une enquête de suivi de cohorte qui permet de retracer le parcours de l’ensemble des répondants impliqués dans la première phase d’enquête. Au Bénin, au Niger, au Gabon comme en Haïti nos équipes sont à pied d’œuvre actuellement.  

Pour rappel le projet TRANSCO c’est environ 1700 élèves suivis de la dernière année du primaire à la fin de la première année du secondaire, 1600 parents enquêtés, une centaine d’enseignants, de chefs d’établissements scolaires et d’inspecteurs, une centaine d’écoles primaires et secondaires impliquées dans 4 pays: Bénin, au Niger, au Gabon comme en Haïti 

C’est aussi une vingtaine de chercheur.e.s associés, environ 125 agents de terrain et une dizaine de collaborateurs externes. 

 L’objectif du projet TRANSCO est d’identifier parmi les facteurs familiaux, scolaires et individuels, ceux qui sont susceptibles d’apporter un éclairage à l’analyse du niveau de vulnérabilité de certains élèves lors de la transition primaire-secondaire. Nous nous intéressons également à la façon dont ces différents facteurs s’articulent entre eux pour constituer un système explicatif du processus d’accrochage/décrochage scolaire pour enfin identifier les leviers d’actions en faveur de l’amélioration de la rétention scolaire au cours de la transition primaire-secondaire.

Mes remerciements au programme APPRENDRE, aux points focaux dans les divers Ministères de l’enseignement, mais aussi à l’ensemble des équipes et collaborateurs pour l’impressionnant travail en cours. 

Remerciements aussi à la BdS Siabanni qui donne une saveur particulière orientée responsabilité sociale à ce projet de recherche.